Des fenêtres en mauvais état sont responsables de 10 à 15 % des déperditions énergétiques. Cela entraîne donc un surplus de dépenses en matière d’énergies. Il faut savoir que les intempéries les rendent moins efficaces au fil du temps et que l’installation d’une menuiserie n’est pas définitive. Nous vous expliquons quand changer vos fenêtres.
Avant de vous lancer corps et âme dans le changement de vos vitres, prenez le temps d’observer leur état. Trois critères d’usure peuvent ainsi être pris en compte :
Si les trois critères ou à minima deux sont réunis, vous pourrez alors entreprendre de changer vos vitres.
Pensez que vous n’êtes pas obligé de tout changer en même temps. En plus d’estimer le coût, prenez aussi en compte vos besoins. Si une vitre est cassée, un changement total n’est peut-être pas nécessaire. Des professionnels pour effectuer une intervention vitrerie sur Paris ou ailleurs en France, en fonction de votre lieu de résidence.
De même, si les boiseries sont fatiguées, peut-être pourrez-vous vous contenter de les rajeunir en les ponçant et en leur remettant un petit coup de peinture. Vous pourriez aussi recourir à un menuisier, du moment que la moisissure n’a pas fait son apparition ou que le bois n’a pas été attaqué par des insectes xylophages. Enfin, si vous fenêtre ferme mal, posez une crémone neuve. Elle vous permettra d’assurer l’étanchéité et la sécurité des ouvertures.
Si vous décidez finalement de changer certaines de vos fenêtres, sachez que l’État propose des aides. Vous pourrez ainsi bénéficier du Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique (CITE), qui vous offrira la possibilité de déduire jusqu’à 30 % de vos dépenses. L’éco-prêt à taux zéro peut aussi, par exemple, vous être accordé.